En quoi le mode de fonctionnement de CNS diffère-t-il de celui d’autres ESN ? Basile nous donne son point de vue!

À la suite de cette expérience en demi-teinte, tu t’es tourné vers CNS alors que nous étions également une entreprise de conseil. Pourquoi ?

J’arrivais à discerner ma précédente expérience de l’univers général de l’ESN pour lequel je voyais des qualités évidentes. J’étais vraiment frustré, j’avais envie de me lancer sur des sujets techniques et j’avais soif d’acquérir des compétences. Je ne le savais pas encore mais, inconsciemment, je cherchais une entreprise comme CNS. Par la suite, le hasard m’a fait rencontrer Arthur qui m’a expliqué qu’il travaillait sur des missions « vraiment intéressantes » dans une entreprise de conseil très technique. De par nos échanges, j’ai rapidement compris que CNS valorisait ses consultants, les responsabilisait et leur donnait des sujets intéressants… C’est devenu une évidence !

Quelles ont été tes premières impressions en arrivant chez nous ?

De l’entrevue jusqu’au premier jour, je me suis tout de suite trouvé à ma place. Je me souviens d’ailleurs de mon premier jour d’accueil qui était totalement différent de ce que j’avais connu en stage. J’ai vraiment eu un bon contact avec l’ensemble de l’entreprise et j’ai été immédiatement « humainement » intégré.
Par la suite, j’ai rapidement senti l’accompagnement et l’esprit de partage au fil de mes missions et, cette fois-ci, je ne pouvais pas m’ennuyer puisque CNS me poussait à me former lorsque mon activité se calmait.

Peux-tu nous expliquer comment s’est déroulée ton acquisition de compétences à nos côtés ?

Quand on commence nos missions en tant que junior chez CNS, on est toujours accompagné d’un supérieur. C’est cette méthode qui, pour moi, est fondamentale et permet d’avoir une acquisition de compétences rapide. Je me rappelle en particulier d’une de mes premières missions aux côtés de Mathieu : j’avais encore des connaissances très théoriques tandis que Mathieu avait des connaissances bien plus étendues et précises à la fois. Collaborer dès le début avec des experts dans des contextes clients aussi variés était vraiment instructif.
Ça m’a aussi permis de prendre un poste de consultant, qui n’est pas forcément naturel lorsqu’on débute. On doit vraiment être autonome, avoir un sens de la responsabilité, de la communication et on doit être capable de comprendre les enjeux politiques et financiers des projets. Au fil de ces missions, j’ai naturellement gagné en autonomie et en responsabilité jusqu’à devenir aujourd’hui un consultant confirmé, capable de se positionner chez un client sans faire de faux pas et étant apte à répondre aux besoins de la mission.
Je trouve que les formations chez CNS facilitent aussi cette acquisition de compétences. J’ai bénéficié pour ma part des formations de base et avancées sur le réseau suivies par tous les juniors, mais aussi des ateliers et demi-journées de formations ponctuelles. Il y a une très forte volonté de partage !

Tu fais maintenant partie de nos consultants expérimentés : on pourrait s’attendre à ce que tu gères une équipe, pourquoi n’est-ce pas le cas ?

Pour être honnête, c’est quelque chose qui m’angoissait il y a encore quelque temps car, malgré mon expérience, je sentais que je n’avais pas envie de faire de la gestion, que je n’avais pas la fibre pour ça. Or, dans le milieu de l’entreprise, prendre des responsabilités signifie souvent gérer une équipe. J’ai fait remonter cette crainte à mon responsable Nicolas qui a su me rassurer sur ce point. Il m’a expliqué que chez CNS, la gestion n’est pas une fin en soi, mais une possibilité d’évolution parmi tant d’autres pour ceux qui le souhaitent. Pour ma part, si j’ai envie d’être un consultant technique, rien ne m’empêche de faire carrière chez CNS dans ce sens et de prendre des responsabilités par d’autres moyens.